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Le 1er juin 2001
[Cher Collègue],
Voici le livre de Le Roy que tu m’as demandé.
Ainsi que – concernant la question des postes au département d’Ethnologie – une note méthodologique officielle, datée de 1998, qui tout en nous créditant de 4 postes (nous sommes en réalité trois titulaires), signale un déficit ETD…
- [N22] ayant changé de section (le Conseil scientifique de l’université, m’a-t-on dit, a avalisé sa demande malgré un avis négatif de la Commission des spécialistes, mais je n’en ai pas été informé) – Il a vraisemblablement fait cette demande pour être en mesure de léguer son poste à [un] proche : en 20° section, sa candidate n’a aucune chance… ,
- [N14] ayant été autorisé par le Conseil de Faculté à partir " avec son poste ",
comment assurer les 350 heures de cours en Licence, 100 heures en Maîtrise et 66 en DEA ?
- [X] (19° section) et [N19] (16°) recrutés pour ouvrir le DEUG n’appartiennent pas au département d’Ethnologie – [N19] est d’ailleurs rattaché officiellement au département de Sciences de l’Education, où il effectue, comme [X], la plus grande partie de son service.
- [X], allocataire-moniteur (du Ministère et non de l’université : il est normalien, agrégé et titulaire) n’est pas sûr de voir son contrat renouvelé…
ne font pas partie des titulaires 20° section. Voilà la situation.
J’ai lu avec intérêt ta plaidoirie pour l’AJ. La différence, sans doute, avec la Faculté des Lettres, c’est qu’en Droit vous êtes, malgré tout, en communauté universitaire et que vous partagez les mêmes intérêts scientifiques et moraux…
A bientôt !
Bonne Pentecôte !
B. C.
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