le 10 mai 1999
B. C.
au
Professeur [X]
Université dAntananarivo
Chère collègue,
Je serai malheureusement absent lors de votre visite qui nous est annoncée le 17 mai. Mes collègues [X] et [X], qui rentrent tous deux dailleurs dune mission à la Faculté de Droit dAntananarivo (en Sociologie et en Psychologie), se feront un plaisir de vous recevoir. Votre conférence a été programmée dans le cours du séminaire que [X] assure pour les étudiants de D.E.A. sur Madagascar.
Je me réjouis de constater votre volonté de raffermir les liens entre nos deux universités. Cette volonté est aussi la nôtre. Les relations scientifiques ou personnelles que nous avions avec nos collègues malgaches ont été institutionnalisées, grâce au soutien de lAUPELF, par le Doyen de votre Faculté, [X], et notre ancien Doyen, [N14]. Le chantier est vaste et beaucoup reste à faire...
Vous constaterez aux quelques documents joints - notamment au bilan succinct de la coopération régionale qui ma été demandé par le Préfet de la Réunion - que nous ne sommes pas restés inactifs. Au cours dun séminaire qui sest tenu à la Faculté des Lettres dAntananarivo en février de lan dernier, nous avons essayé, après une présentation des recherches en cours, de mettre un peu dordre dans ce programme. Grâce aux échanges P.I.R. de lAUPELF, notre collaboration commence à prendre forme. La raison de mon absence tient dans linauguration à lAlliance Française dAntananarivo dune exposition, ce 17 mai, qui résulte du travail commun que jeffectue avec un collègue malgache, [X], dans le sud-est de Madagascar (je vous prie de bien vouloir trouver quelques images extraites dune page WEB présentant ce travail, ladresse URL étant provisoire car des corrections restent à apporter).
Veuillez croire, Chère Collègue à lexpression de mes sentiments dévoués.
B. C.